mercredi 6 mars 2024

Rétrospective 2023 - partie 3 - fin

Mais tout n'est pas perdu, le soleil brille et les bourgeons ré-apparaissent au hasard des haies, pour notre plus grand plaisir d'observateur. Le vivant est bien là, dans ses répétitions perpétuelles. C'est de cette façon qu'il nous rassure, dans ses cycles qui sont des repères pour nous, d'une chronologie de vie, de mort qui doivent se faire, ni trop tôt, ni trop tard, dans ces cycles de l'eau, de pluie ou de sécheresse "normale".

Hélas certains de ces cycles sont vraiment chamboulés (et peine perceptible nous les ignorons ex : les températures d'eau trop élevée font que les canards ne s'accouplent pas au printemps) et arrivent de façon bizarre ou décalés. C'est ici, dans ces constat déplorables et alarmant que nos craintes démarrent pour l'avenir de certaines espèces animales, végétales ou autres. 

Là, j'ai envie de vous hurler dans les oreilles "C'est maintenant qu'il faut agir pour le bien de tout ce qui vit sur terre, et pas demain, quand il sera trop tard ! ". 

Tout comme a son inverse par endroit il faudrait plus rien faire du tout et laisser tel quel, afin que la nature puisse réapparaitre, reprendre ses droits, ses gauche, etc. La seule façon pour que cela arrive serait "d'épauler" les survivant de nous et nos activités destructrices (les campagnes pour la préservation des crapauds et grenouilles sont bonnes - tirer de grosses cordes au dessus des route pour en faire des ponts aérien pour les écureuils évitent qu'ils se fassent écraser). Personnellement, je serais radical en interdisant le passage de voiture par endroit.

 

Lézarder tranquillou à l'ombre des 38°C !

Je n'en veux pas a 2023 qui n'a pas été aussi riche en rencontre animalière. Les fortes chaleurs ont tout impacté par rapport aux années précédentes. Le soleil a eu raison de moi, même si l'on veut voir quelque chose pas la peine d'aller se cramer le ciboulot, sachant très bien que rien ne sera visible. Nous survivons, les animaux le font depuis toujours en vivant dans la nature, ils usent de stratégies qui leur est propre, nous, a leur place on ne tiendrait pas une semaine sans se choper une bonne chiasse. 

 

A l'ombre je sirote (demi-deuil sur marjolaine).

Le manque d'eau par endroit et les ruisseaux taris sont aussi, une, des causes fondamentale de l'absence d'animaux dans la nature. L'eau comme nous le savons tous est le minimum requis, qui doit être accessible pour que la vie se fasse ou puisse se faire. Là où il n'y a pas d'eau, peu de chance de voir quelque chose...

Hormis, quelques insectes rieurs (Cérambyx et leur krrr krrr krrr) et les papillons joyeux, je n'ai pas eu l'occasion de voir beaucoup d'oiseaux en 2023. J'ai fait comme les animaux je suis rester à l'ombre. Et tous ces animaux à plumes absents ont eu bien raison bien restés dans leurs abris au frais, soit en montagne, soit en foret. Ou, soit sont repartis d'où ils sont venus, car ne supportant pas les forts rayonnement solaires. Ou, soit n'ont pas migré par instinct.

 

Je ne fais que passer (Martin pêcheur) 

L'état d'urgence dans la nature je ne saurai le décrire. Je dirais juste que par endroit le silence et encore plus grand, ça en devient réellement flippant, car voir des arbres magnifiques sans plus aucun son, ni chant d'oiseau ne sortant de leurs feuillages fait que l'on se sent seul dans d'immenses endroits de verdure totalement vide. 

Ce que j'ai souvent entendu était le couinement de branches entre-croisées se frottant l'une contre l'autre, lorsqu'il y avait une peu de vent. Le tac-tac des pics crées des manques ou des vide sonore, que les amoureux de nature ont du mal a accepter. Les petits mammifères eux se sont fait très discret. 

Lorsque l'on a pris l'habitude de sortir en nature pour marcher et que l'on repense a 25 ans en arrière on ne peut que faire des constats négatifs. On ne peut que se sentir aigri et impuissant face a ces changements. Être très critique dans toutes ces affirmations de constats déplorables n'est pas un mal, mais une façon d'être un témoin de ces grands changements s'opérant. On se retrouve tels des Charlie Chaplin dans les temps modernes, pris dans des engrenages dont on ne maitrise rien, nos clefs à mollettes en mains, on en fait quoi maintenant ? On a juste l'air con, face a des forces naturelles dépassant tout ce que l'on peut prévoir.

 

Une épaule n'est jamais de trop (Petit Capricorne - Cérambix)

Mitigé dans mes pensées :  
Un, soit je me dis la nature est foutue et s'est dommage et je passe a autre chose et j'arrête la photo et je vais vendre du "Rundup".
 
Deux, soit je tente de vous convaincre que l'on peut faire quelque chose sachant qu'un point de non retour a  été franchit il y a peu et que l'on ne retrouvera plus jamais les population de la faune et de la flore telles qu'elles étaient il y a 10 ans, soit mentir a soi même et être dans un autre forme de déni.
 
Trois, soit me dire qu'il doit en être ainsi que la renoué du japon n'a rien a faire là tout comme la pyrale du buis. Dire aux gens qui faut défricher sachant également que cette plante s'installera ailleurs tout comme d'autres plantes invasives dont on découvre aujourd'hui qu'elles n'avaient rien a faire là. Un peu dans le genre des informations "la météorite à frôler la terre il y a 3 semaines mais le monde est sain et sauf ".
 
Quatre accepter et voir ce qui se déroule autrement. La pyrale du buis est là mais ne prolifère plus, comme ils y a 5 ans donc les buis se portent mieux. Ces plantes et ces animaux sensés ne pas être là vivent et font leur vie. Ils donnent alors l'opportunité a d'autres espèces de s'installer. L'acceptation est peut être pas un mauvais choix. Le soucis est que nous sommes des humains et que les changement nous humains n'aimons pas du tout ça, car nos souvenir d'avant viendront toujours nous faire dire, que c’était mieux avant.
 
Et si l'on pensait qu'aux animaux et non plus a nos façons de penser sur ce qui se passe. En leur tendant une épaule aidante qui leur permettrait de s'envoler et de s’épanouir tout simplement ?
 
 
fin - Kaze
 
 

 

Rétrospective 2023 - partie 2

Écrire sur ces destructions induites par des guerres, des viols, des religions, des massacres, de montées de nationalismes a échelle planétaire, sur des inégalités croissantes, sur des clivages dans la société ne changera rien. 

Tout ça, n’est que le tableau peint mille fois, sur lequel se joue des scènes cruelles et horribles. des scènes anodines comparées à celles que l'on a déjà connu et les futures liées a toutes nos activités (Tchernobyl, Fukushima, la Mondialisation, les weekend, les black-friday, tout ce qui va vous enfermer dans votre porte monnaie vous faisant ignorer la nature et le reste du monde) qui parallèlement sont en cours.


Bain de chaleur à 2000 mètres (Argus de l'hélianthème).
 

Activité dans les quelles nous ne nous sentons pas responsables, impliqués et sur tout pas concernés, mais nous les actons tous les jours. Qu est ce qui le prouve ? Pourquoi serait-ce vrai ? Et où en est la preuve ? 

Je ne suis pas responsable de la fonte d'un glacier, mais toutes les pièces de ma maison pendant 4 mois, sont à 21°C. On se trouvera toujours une bonne raison d'en rire en se disant que l'erreur est dans le fait que le glacier n'aurait jamais du être a cet endroit là. Ce déni comique à pleurer, permet aux plus riches de laisser ouvertes toutes leurs fenêtres un 21 décembre par exemple. 

 

Douceur de lumière traversante.

Ce tableau peint mille fois, aussi moche soit-il se retrouve dans tous les musée du monde. Il n’est pas cette image retraçant l’histoire de l’Humain et de ce que nous sommes réellement. 

Cet œuvre est juste un avertissement miroir dont l'origine du reflet n'est que nous même. L'endroit réel où les catastrophes se produisent ne sera toujours que de notre côté et nullement dans la projection peinte par un fou que l'on observe. Seul le temps passé dans la nature à contempler nos désastres grandissants permet la lecture de cette œuvre macabre, à croire que bon nombre d'artistes se sont faits dans la nature, leur vision a toujours été juste.

 

Le sphinx du pissenlit devra s'accrocher pour vivre

D'autres guerres invisibles participent, elles aussi, avec des légions d’armées constituées de dégénérées sous anxiolytique accrocs a des valeurs obsolètes a de temps révolus, a l'effondrement total du monde dans le quel nous nous trouvons tous. Peut être que nous sommes à la veille de l’effondrement complet d'une société humaine qui en a trop fait, comme pour les Incas, ou les Romains ? Ils ont disparu et pourtant nous sommes toujours là...ne serait ce pas une lueur d'espoir, tout n'est pas fini.

 

Les graines d'espoir germeront, même si la nuit tombe.

Nous sommes tous responsables, aussi bien les travailleurs, que les fainéants, car pour vivre dans notre monde, il faut au plus pauvre des pauvres consommer quelque chose pour vivre un jour de plus. 

C'est là que les pessimistes tels que moi devraient hurler "vivement la fin" accompagnée d'une dose de psylocibine attendrissant les consommateurs les plus grincheux d’entre nous. Ceux qui n’iront plus nul part garderont un sourire éternel aux lèvres. L'intérêt commercial nous suivrait jusque dans la mort, le tout sponsorisé par la pharmaceutique et sa publicité bientôt sur nos écrans...

 

la suite et fin au prochain post.


Rétrospective 2023 - partie 1

Désirant faire la paix avec mes pensées ce printemps, l'être perdu, que je suis, à repris la bonne habitude de remettre les bottes et d'aller gambader dans la lande herbeuse de la campagne Savoyarde. Pour repaitre mon âme de fraicheurs matinales et d'observations fantastiques que la nature offre a ses pratiquants. Et donc...SCRAAATCHH (bruit du vinyle rayé) non je n'ai jamais été de ceux là, les rêveries mensongères de ceux qui appâtent les animaux pour les voir de près et les poète maudits réapparus ne sont ni ma tasse de thé, ni mon style. 

Ma réalité est qu'en 2023 le monde a enfilé ses chaussures a bascule, aucun d’entre-nous ne dit qu’elles sont belles ou confortables, et aucun d’entre nous ne les a jamais aux pieds. Mais, le fait est que : l’humanité toute entière marche avec.

 

25 000 plumes ne font pas que la beauté (cygne tuberculé).

On a voulu des jeans, on a eut des jeans. On a voulu des kway, on a eut des kway. On a voulu du plastique, on a eut du plastique. On a voulu des écrans plats, on a eu des écrans plats. On a voulu l'industrie, on a eut des cancers. Notre monde est ainsi, il troque son bonheur et sa joie de vivre, pour de l’inutile et des vides à remplir. 

Ce que l’humain sait faire depuis surement plus de 15 000 ans a peu près, n’est que désirer des choses, désirer des objets juste avant sa dernière heure. De son plein gré, l'humain échange pour si peu, son si précieux temps de vie, contre des biens matériel, c’est désiroire…non…dérisoire et pourtant si réel. 

Cette corruption de l’âme, nous a tous atteint, moi y compris. Alors, qu’il y a tant a voir et à vivre une fois hors de nos faims qui ne seront jamais rassasiées. Peut être que redevenir l’humain à poil, nu comme un ver vivant dans sa caverne serait un salut pour l’humanité si et seulement si cette humanité "désire" juste respirer un air futur moins pollué.

 

Des roseaux toujours vivants (bruant des roseaux-femelle).

Notre entité monde est cet être sans tête qui avance vers l’inévitable. Mais comme d'habitude ce ne sera pas de sa faute, juste celle du fait d’avoir usé, avec ses pieds bandés de chaussures a bascule, qui seront « l’unique cause » de sa chute. Personne ne se dit ou ne veut être le responsable du catastrophisme dans le quel nous sommes tous aujourd'hui. Et le monde entier sera obligé  d’user de bras pour écoper, un jour ou l’autre, ce trop plein d’inutile. Mais ce que le monde va écoper, il le mettra où et en fera quoi ? Car tout ne se recycle pas ?

 

invisible pour les humains. (Noctuelle rayonnée)

Les climatosceptiques sont plus nombreux. Chouette, ouvrons leur une Climatosceptothèque. Inutiles, Elle existe déjà et se nomme « continues seulement à avoir des comportements irréfléchis pour les 25 ans à venir envers ta planète patate !». De nos jours, tout s’effondre : les montagnes ne tiennent plus debout, les sols vomissent des torrents de boue, les eaux du ciel inondent les terres de produits décapant, les volcans sont visités par des d’ovnis qui les enragent et les neiges éternelles n’existent plus que sur Mars. L'armée américaine y voit des Tictac volant, mais Ferrero ne veut pas assumer la responsabilité du plastique en mer, tout va si bien dans notre monde.

 

 "la Liberté", un chant interdit aux humains (rouge-queue a front blanc-mâle).

Nous imaginons toujours que le monde évolue et progresse en permanence, alors qu’il ne fait que reproduire la marche lente d’Echternach constituée de trois pas en avant et de deux en arrière. 

Cette lente procession définissant si bien les humains, ne nous aide pas a y voir plus clair, mais elle permet d’obtenir un de temps de latence entre ses pas, nous laissant ainsi entre-voir sur quoi nous allons chuter. Pour éviter toute chute, à Echternach les processionnaires sont en chaine humaine en se soutenant par les coudes. le geste est beau dans un pays de 40 km carrée, à l’échelle mondiale c'est une autre histoire, les guerre en cours le démontre pour la n-ième fois. Il nous faudrait peut-être chercher dans le cumul de ses infimes laps-de-temps d’arrêt entre deux mouvements qui pourraient nous sauver si nous les conscientisons pour en faire quelque chose de non nuisible et non destructeur aussi bien pour nous que pour le vivant et ce qui ne l'est pas.  


la suite au prochain post...

 

jeudi 1 décembre 2022

Retrospective 2022 - partie 4 - fin

Alors certes, nous allons au toilette, afin de répondre au besoin fondamental "de faire nos besoins", mais cet acte est aussi celui de nous défaire de ce qui ne nous appartient pas finalement. Aussi peu réjouissant soit-il, ce moment est aussi celui de l’état où se trouve dans sa plus grande vulnérabilité un être humain. Rares sont ceux qui y pensent, lorsqu'ils défèquent ou jettent dans la nature avec un certain empressement leurs détritus, leurs gravas, leurs pneus usés, leurs plastiques, leurs papiers d’emballages, leurs merdes, etc, etc, etc, etc...  


Sérénité d'un Piaf

Et pour les humains qui ont encore "un brin d'humanité", ceux-là jetteront les 3/4 des objets leurs ayant appartenu dans une poubelle. Certains de ces objets qui nous ont accompagné durant une période de nos vies, ne font pas que nous traverser, car pas tous, mais quelques uns au quel nous nous sommes attachés auront un destin différent que celui des ordures. Soit nous nous en séparons définitivement mais gardons d'eux une belle place en mémoire, ou soit nous les gardons avec nous, afin qu'aux contact de nos doigts, ils ravivent les souvenirs d'un passé vécu. Ou encore nous les conserverons dans nos meubles, nos tiroirs et nos petites boites, quand il ne s'agit pas d'immenses hangars. L’humain a su s’attacher aux choses, qui pour lui ont une grande valeur sentimentale. Tout comme il a su avec le temps s'attacher à certaines nourritures, plutôt qu'à d'autres.

 

Sous le bon angle (Petit Mars changeant)

Hélas, là est son grand défaut ou son grand tord, car les humains ne s’attachent finalement qu’à l’inerte et au gout, soit a ce qui ne vit pas ou ce qui ne respire pas. Alors que juste a ses côtés beaucoup d’espèces en voix d’extinction périssent et disparaissent réellement. L’humain ne réalise pas que ces individus vivant différents de lui ne seront bientôt que "trop absent" et n’existeront plus du tout. 

Les humains ne réalisent pas qu'ils ne reverront plus jamais ces êtres majestueux et magnifiques et n'en font aucun deuil. Terrible, ce grand manque d'empathie pour ce qui vit autour de lui. L'humain ne réalise pas, que le précieux ou le gout des choses puissent se trouver ailleurs, que dans sa boite crânienne, sur sa langue, ou des containers et autres boites vides...

Étrange mais aujourd'hui je me dis que j’ai la chance peut-être, d’être devenu sans le savoir "un archiviste" malgré lui, car je sais aux vues des rapides changements climatiques s’opérant autour de nous, que nous, les photographes animaliers et amoureux de la nature, que nous sommes peut-être, dés a présent, les derniers observateurs d'un vivant qui bientôt ne sera plus. 

 

Vélocité (Martin Pêcheur)

Pour ce qui est des objets qui ont traversé ma vie, je ne reste tout comme vous qu'un petit humain qui conserve les portions d'une vie étrange dans des petites boites, ou j'y place ce qui me semble beau et collectionne de vieux beaux-livres. La question qui serait de préserver des savoirs faire n'est pas oubliée, mais elle est volontairement laissée de côté (car nos vieux et leurs morts trop tabou sont stockés, loin des non-vieux, dans des maisons de retraite, hélas). Bien que je les aiment aussi, les livres neufs m'interpellent moins, car trop rigides, trop professionnels, trop remplis de "parfait". Alors que les vieux livres nous laissent entre-voir des sagesses et des bêtises qui se côtoient que l'on peut admirer ou mépriser. Aujourd'hui, il nous faut absolument prendre du temps pour réellement digérer, tout ce que l'on nous oblige à avaler au quotidien. Et cette digestion cérébrale, ou intestinale, ou manuelle devrait être beaucoup plus conscientisée, qu'elle ne l'est actuellement. Et au passage, si s'est possible, arrêtons-nous de digérer la nature. En vous souhaitant de Bonnes fêtes, a tous,


Kaze


Rétrospective 2022 - partie 3

Car tous nos actes quotidiens font malheureusement que nous laisserons toujours derrière tous nos achats des kilos de papier, des tonnes et des mégatonnes d’immondices, de déchets, de merdes, du Co2 à n’en plus finir, etc. 

Et qu'ils soient avions, bateaux, cars, ou trains ne changent pas grand chose aux résultats destructeurs de l'équation. Hélas, même un train pollue, car pour le construire, il nous faudra toujours polluer. Le train nait pas d’une trainée, mais d’une usine et avance grâce au nucléaire en France. Encore une longue liste de polluants, tout comme notre corps éjecte lui aussi 1 à 2 fois par jours les siens. Comme quoi, nos comportements humains sont similaires aux fonctionnements interne de nos corps, mais nous ne le réalisons pas, car nous sommes trop conditionnés à vivre pour travailler, payer, travailler, payer, sans plus aucun concept d’un bonheur se trouvant ailleurs, que dans ces modes de vie de consommateurs par obligation qui sont les nôtres actuellement. Et si, nous consommons rapidement alors notre digestion sera bouleversée, car troublée puisque hors de sa temporalité humaine, mais "la vitesse" joue exerce aussi un rôle tout autant dévastateur que tout le reste...
 

Avocette

Sachant très bien que de nos jours, il nous est très difficile pour nous tous, de sortir de ces modes liés à l’argent et aux fluctuations de la bourse. Cette banque mondiale universelle impacte, elle aussi, toutes nos vies tant celle du plus pauvre des pauvres au moins miséreux que les riches devenus ces ultra-riches. Transformant ces humains aux poches pleines, en paquets de nerfs sur pattes, stressants 2 fois plus de perdre ne serait ce qu'un centime sur des milliards d’objets à vendre. Objets qui ne sont et seront, car nous le savons que trop bien, n’être finalement que de futurs détritus.


Virgule ou Comma

 

Car, une fois toutes ces choses obtenues et usées (par temps de la digestion) nous nous en lassons et devons, puisque nous suivons, la mode, le progrès, le moove, le fun, la nouvelle vague, le mouvement, le net...de toujours avoir le dernier cri, qui est ce nouvel objet dont tous parlent, mais que nous n’avons pas encore. Son acquisition fait que nos objets passe de mode, pourtant ils ont également traversé nos vies. Dés lors, nous pouvons, nous en détacher, nous en séparer en les revendant sur un site internet. Devenant, ainsi, non plus "des clients" mais des acteurs (en nombre conséquent) participant à devenir vendeur, pollueur, entrepreneur, voir businessman emporté par la vague gigantesque de ce commerce mondial. Son immense flot, nous porte sur l’illusion d’une micro-réussite, qui n’en n’est pas une, car aucun d'entre-nous ne devient milliardaire en un claquement de doigt. Ou, nous nous débarrassons de ces objets désuets d’une manière plus radicale.

 

Anémone du Japon

Tiens je viens d’écrire "choses qui ont traversé nos vies" égale à "choses qui ont traversé nos corps". N’oublions pas que toutes ces objets et aliments laisserons tôt ou tard une empreinte sur nous, nos corps, nos environnements sociaux et malheureusement naturels. 

Certes, le destin tragique de l’homme est de mourir, mais avant de lâcher son dernier souffle, l’homme, quel qu’il soit, veut vivre en brulant sa vie de nos jours par les deux bouts. Sans jamais, au grand jamais, se soucier de savoir si ses activités polluantes bousillent, ou pas son monde dans le quel il vit, qui est le sien. Demain d’autres dirons de nous, que nous étions "ces parasites terrestres à l'immense capacité d’adaptation, en vivant sur les immondices, dont nous seul étions, les géniteurs."

 

suite au prochain post


Rétrospective 2022 - partie 2

Je m’explique, les 14 besoins fondamentaux de l’humain cités par Virginia Anderson sont bien réels et la pyramide de Maslow l’est tout autant. Pourtant les humains, ces êtres au métabolisme complexe sont obligés pour vivre, de répondre à ce besoin vitale qui est non plus de "se nourrir" pour vivre, mais celui de "consommer" des tonnes de choses tous les jours pour vivre. Ainsi, des aliments ingérés passeront de la bouche à l’anus en l’espace d’un certains temps cité comme "la digestion". Mais aussi lors de l’acquisition de biens apportant plus de confort, ou plus de tristesse a ces humains si ils ne les ont pas (humain=animale capricieux). Les aliments finiront éjectés sous la forme d’excréments, que l’on laisse derrière soi, soit dans un lieu prévu pour nommé des toilettes, soit dans la nature, soit où vous le souhaitez. Tout comme les biens matériels qui une fois digérés deviendrons des déchets, ou des détritus. Ils finiront tous dans une poubelle prévue pour, ou dans la nature, soit où vous le souhaitez.

 

L'Ascalaphe
 

Car, depuis notre naissance et ce jusqu’à notre mort, nous allons tous, ne faire que ça, avaler des choses qui vont venir traverser notre corps durant le temps que prend leur digestion, afin que nos corps puissent se développer, grandir et mourir permettant ainsi l’existence d’un être humain de se réaliser. Ces aliments ainsi ingérés vont nourrir un organisme et ils vont lui permettre de croitre ou de grossir si il en abuse. Maintenant je fais ce lien entre le comportement physique d’un corps humain et la façon dont celui-ci existe et se comporte.

Je pense que les 2 sont identiques et très liés, sauf que nous ne l'avons pas suffisamment conscientisé. Il faut dire que les gens, le monde entier, une personne lambda, soit des tas d'humains espèrent vivre une vie riche et bien remplie. Tous ces humains et leurs désirs participent inconsciemment a ce que "la réussite sociale" doit être. Cette réussite nous met a tous cette pression nous dictant aujourd’hui comme hier, qu’il nous faut : avoir voyagé, avoir si ou ça chez soi, avoir une maison, avoir des enfants, avoir vu la face cachée de la lune, etc. Soit le fait d'avoir des biens immatériels (des souvenirs), des biens matériels ou humains chez soi. Voir même être détenteur de l’impossible, comme par exemple, être le propriétaire d’une Bugatti Veyron, ou encore, être aller dans l’espace. Tout ça, pour avoir la sacro-sainte "reconnaissance" de nos semblables. 


Petit Sylvain

 

Alors pour être le plus vu, le plus reconnu que possible, par tous ces gens que l'on ne connait pas, nous voulons tous nous rendre à l’autre bout de la terre. Vu que nos voisins y sont allé avant nous, alors tels des moutons de Panurge, nous les suivons. Nous désirons tous, grâce aux publicités et leurs promotions servies par nos sociétés dites civilisées, les derniers objets high-tech. 

Nous voulons tous que nos vies soient riches d’évènements plus marquants les uns que les autres. la réussite social va bien au-delà des gosses et de la maison acquise. Aujourd'hui grâce des objets connectés et beaucoup d'argent, il est tout à fait possible d’être à Paris à 8h00 pour déjeuner, pour ensuite diner à Marseille et s’en retourner sur Bordeaux le soir, afin de rendre visite à des amis, ou de s’acheter un objet rare lors d’une vente aux enchères se déroulant à 20h30, ou juste se faire plaisir en voyageant par avion. Il nous faudrait réaliser une multitude d'activités, plus ou moins grandioses, dans des laps de temps très courts, et ce, tous les jours. Coucou...les troubles psychiques...soyez les bienvenus dans ma vie frénétique


Spatule

 

Beaucoup d’humains rêvent de vivre ainsi, et si possible avant de mourir, cela serait top. Mais pour vivre ainsi, il nous faudra toujours sortir de l’argent, une carte bleue, ou une très grosse pépite d'or, car dans "nos sociétés civilisées" qui ne sont actuellement que mondialement commerciales, d’un bout à l’autre de la planète, il nous faut avoir "vécu". 

Et sans ce flouze dans les poches, vous n'existez pas et ne pouvez exister dans notre monde actuel. 

Seul l'achat compte a tous les niveau de notre société, ce qui ne l’embellie pas. Et l’échelle du bien acquis par achat, aussi grand ou aussi petit soit-il, aura toujours un impact négatif pour la planète. Que vous achetiez un stylo ou un gros diamant, vous allez nuire au vivant tout entier. Là nous toussons tous un bon coup très fort. Allez...tirez la langue et dites 33...


suite au prochain post

 

Rétrospective 2022 - partie 1

Merci à tous et à toutes pour cette belle fin du monde enrubannée à souhait. D’ailleurs, je vous souhaite la meilleur qui puisse être. À la veille d’un hiver nucléaire se situant à 3000 kilomètres du clapier dans le quel je vis. Je ne me suis jamais senti aussi bien dans mon mal-être. Alors santé ! Kempai ! Tchintchin…argh…le loup ! Voici donc sorti tout droit de ma poubelle d’ordinateur recyclé les 12 photos de ma rétrospective de 2022. Quelle chance, que j’ai, d'avoir encore pu observer de si beaux papillons, alors que nous savons tous, que 80%  de leurs effectifs manquent à l’appel. Là, il n'est question que de papillons, mais ce mot "disparition" est aussi valable tant pour les oiseaux que ces autres petits peuples vivants différents de nous.


sauge ananas    

 

Une année si nulle en COP27, puisque aucun de nos dirigeant n’a souhaité encore une fois prendre ses responsabilités…kof…kof…kof. 2022 année si glorieuse en Covid19, puisque nous avons tous été obligé de mettre dans nos corps contre cet invisible mortel, une chimie dont nous ne savons les effets secondaires à long terme. Au passage, je rappelle que ce virus était une probabilité en 2016 voir avant devenue une réalité dans la quelle il nous a fallut vivre enfermé. Ce Covid n'est qu'un prélude, d’autres aussi jolis lui nous infecteront tôt ou tard, si nous souhaitons continuer à manger des viandes issues d’élevages intensifs, arrivant de l’autre bout du monde. Et continuons a boire ces laits made in Jenessaizoù…

Contre qui ou quoi mon écrit va-t-il se tourner cette année ? Je ne vais rien écrire contre personne, "je fais" comme tout le monde ici bas. Je viens étaler un tas d’immondices, comme à mon habitude, afin de vous faire mourir de rire. Votre mort participera à cet effort crucial contribuant à éviter une surpopulation mondiale, dont la courbe actuelle, ressemble étrangement à celle un membre en érection. Les cygnes ne trompent jamais.

 

Bruant des roseaux
 

Alors en me masturbant le cerveau, j’ai fait cette étrange découverte qui n'en est pas une. J’ai découvert il a peu que bien que nous sommes ces humains constitués d’un assemblage organique, nous ne sommes pas que ça. Nous sommes des machines pilotées par autre chose que ce qui définirait notre intelligence. Ni le conscient, ni l’inconscient ne viennent agir, soit de manière individuel ou en association, en nous poussant des actes réfléchis ou irréfléchis, souvent ils sont irréfléchis lorsque l'on constate les dégâts planétaires de nos jours. Vérité vraie ou fausse connerie, je n’en sais rien, je n’ai pas la réponse. 

Je ne fais que constater une similitude entre fonctionnement de nos corps et nos façon d’agir au quotidien. Car nous sommes ces corps en mouvement qui perpétuellement ne font que répéter ce que nos corps, nous dictent d'accomplir, sans faire appel à notre conscience ou notre inconscience (exemple : faire des courses à répétition, remplir ou vider quelque chose, reproduire quelque chose, des actions banalisées devenues des automatismes (flippant)) soit être ces pendules a mouvement perpétuels qui ne peuvent jamais se détaché de leur base. 


Chrysope commune


Dit comme ça, c'est perturbant. Quand je lève mon bras pour me gratter la nuque, mon geste inconscient sera préalablement dicté par mon cerveau aux membres, car lui seul aura détecté l’endroit précis où ma nuque me démange. L’action est ici pré-calculée et reste qu'un réflexe cérébrale. Il n'y rien d'étrange la dedans, alors que juste à côté de ce type d’action, nous agissons, comme nos corps agissent au quotidien, nous prenons ou usons d'un bien pendant un certain temps, pour ensuite le rejeter sans en avoir plus aucune considération. Il est tellement vrai, que je n’ai jamais eu de remord en tirant la chasse d’eau, hormis pour l’eau potable utilisée à mauvais escient. Ou encore mon estomac digère des aliments grâce aux sucs gastriques, tout comme des ouvriers vont dans leurs usines digérer lors de multiples actions, des outils et des pièces déposées ici ou là, afin de produire un objet qui sera évacué par une usine, qui elle, au préalable aura avalée des tonnes de brutes. Tout comme ces autres humains viendront vider les stocks de marchandises d'un magasin qui aura été au préalable approvisionné.

 

suite au prochain post 

 

mardi 21 juin 2022

Malade depuis plus de 10 000 ans - partie 4 - fin

Mais ces actes ne sont pas nouveaux, ils existent depuis je le répète, encore une fois, peut-être depuis des centaines de millions d'années. Que les restaurants populaires n'existaient pas encore que la nourriture était déjà gaspillée ou que les hommes vivaient nu. Elle à bon dos, notre Révolution Française et son grand manque de pain, nous faisant croire que les gens crevaient la dalle dans les rues. Alors, que les riches cette période ne se souciaient guère, de savoir dans quel estomac allaient finir les restes de leurs repas. Peut-être que le manque de pain  fût une des raisons de la prise de la Bastille, mais ailleurs qu'à Paris, je doute que tous les français n'avaient pas de quoi se nourrir. Quand on crève réellement de faim, nous ne sommes plus capable de mettre pied devant l’autre, fatigué et las et l’on reste couché à attendre qu'une bouffe miraculeuse nous tombe du ciel. Nous restons ce corps incapable de marcher. Aujourd'hui, je doute sur le fait que les révolutionnaires issus des provinces de France se soient déplacés et  battus à Paris pour l'égalité et la liberté le ventre vide, nourrit d'une seule part de rage au ventre...hum...cela reste discutable...

Il n'y a rien d'inquiétant dans tout ça, mais nous sommes hélas de nos jours certainement, très, très malade et très gravement atteint c'est sur. Les exemples sont nombreux et dans beaucoup de domaines, ils pourraient tous délier des langues d'un peu partout en Europe. La France est son histoire très saine faite de guerres et d'inégalité multiples. Le monde et son histoire fait de guerres multiples pour des raisons d'idéologies folles et dangereuses. 

Mais, assise juste a côté de tout ce qui a pu se produire dans l’histoire du monde et son humanité, il y a cette "continuité existentielle" ou ce "besoin vitale" prônant le fait de massacrer durant des décennies entières, encore et encore, des millions de milliards de tonnes d’animaux devenant "la barbaque" par plaisir du gout humain. Ces actes de crimes organisés mondiaux, envers une partie du vivant, n'interroge personne, n'inquiète personne. Ni même sur les incidences et les maladies graves qu'elles impliquent sur nos corps actuellement (obésité, maladie cardiovasculaire peut-être même Alzheimer qui peut dire si cette idée serait fausse ? et des pathologies a foison). Normale, puisque nous sommes tous atteint de ces troubles psychiques qui actuellement ont canalisé les ressentis et les émotions que l’on se devrait d'avoir en énergie du gout positive, prônant le fait que la viande est bonne crue ou cuite...alors, qu’elle n’est issue que de cadavres d’êtres vivant différents de nous. De viandes que l'on peut facilement substituées avec d'autres consommables. Des aliments contenant eux aussi des protéines, nos magasin en sont remplis, mais l'effort de changer d'alimentation ne nous convient pas (croyance, éducation et environnement social, pression sociale sont les responsables du refus de changement). Juste pour dire a quel point, nous sommes atteint par ces maux psychiques qui ont transformé l’odeur "du macabre" en viande cuite, grillée, rôtie, bouillie ou la vapeur, en quelque chose, que l’on sent avec nos narines et que notre cerveau interprète aujourd’hui comme quelque chose de bon, ou qui sent bon, de bon à manger au travers d’un message olfactif, qui pour ma personne, n’est qu'une illusion cérébrale, une erreur de décodage, une mauvaise interprétation, un bug corrigé dans la matrice de nos têtes.

J’ai cessé de manger de la viande il y a 8 ans. Les odeurs issues des broches de rôtisseries me perturbent aujourd'hui. Car, pour ma personne, elles me transmettent juste le message d’une odeurs de chairs brulées et non plus celle de viande cuite ou rôtie. Mais, celles d’un élément organique que l'on aurait cramé. Aujourd’hui je ne peux rester à côté de ses objets de cuissons sur les marchés, car elles me donnent la nausée. Comme si l’interprétation de mon cerveau face ces odeurs de cadavres brulés font que ne je ne puisse plus écrire "de la viande cuite" mais définir l'odeur réelle suspendue dans l'air. Car, ce sont bien des cadavres d’animaux qui sont devant moi et leur chairs sentent le roussi et la chaire brulée. Faites cette petite expérience : coupez vous un morceau ongle et brulé le avec la flamme d'un briquet. L'odeur qui va venir agresser vos narines est celle de la matière organique vous composant qui carbonise. Faites le rapprochement avec les odeurs des rôtisseries, qui elles cuisent beaucoup plus lentement ces autres matières organiques. Vous allez vous rendre compte que si la cuisson irait jusqu'à son terme une odeur identique a celle de votre ongle, viendrait aussi agresser vos narines. Partant de là, vous allez ne plus voir la viande de la même façon, ni même la déguster, naissance d'un dégout total.

Cela va très loin, puisque même l’odeur de la viande et du sang dans un supermarché est détectée par mes narines (l'odeur du sang est très proche de celle du fer). Souvent en balade dans la nature je porte beaucoup d'attention aux odeurs qui m’entourent et celles que je véhicule issus de mon corps. Mon nez m’avertit si un cadavre n’est pas loin, si un troupeau n’est pas loin, si des plantes aromatiques poussent pas loin, ou si des résineux et autres plantes poussent dans les environs ou si une personne fumant des cigarettes ne se situe pas loin.

Dans la nature je pense que les odeurs des plantes sont aussi importantes pour notre bien être, que les chants d’oiseaux, que les couleurs des fleurs et de la nature aux différentes saisons. Tout dans la nature est conçue de façon adapté aussi bien aux hommes, que pour les individus différents de nous (vivant sur terre, dans l'eau et l'aire), la flore et tous ces biotopes et environnements. Les odeurs ont ces capacités étranges de nous mettre soit à l’aise, soit mal à l’aise. Tout dépend de l’interprétation du message que notre cerveau en fait. Sentir l’odeur du gaz nous met rapidement en alerte sur le risque de danger immédiat. Une femme qui est parfumée sans que l’on sache si elle est belle ou non, sera regardée tant par les hommes que par les femmes. Tous chercherons instinctivement ou primitivement après son passage à poser leur vue sur l'individu porteur d'un message olfactif puissant et qui les aura interpellé à distance, juste en ayant reniflé une odeur volatile (qui n'est pas la sienne) sucrée, vanillé, acide, poivrée, etc...

En entrant dans un hôpital, ce milieu aseptisé par des précautions d’hygiène aura sur chacun d’entre nous, un impacte qui peut-être d’inquiéter au plus haut point soit les uns, soit de rassurer les autres, voir parfois dans de rare situation donnera l’impossibilité d’une personne d’y mettre ne serait ce qu’un seul pied. Tout comme dans une maison de retraite, où les odeurs particulières, suivant l'endroit où l’on se situe, viennent interpeller nos narines par l'eau de Cologne et le savon bon marché transporter d’un endroit a un autre par les petits vieux. Ou celles de leurs urines ou de leurs protections bonnes à changer, voir parfois même, portant sur eux l’odeur du repas de midi dans leurs vêtements, ou celles d’un couloir rappelant que même la mort a une odeur âpre, que l’on peut reconnaitre avec le temps passer à œuvrer dans ses structures.

Dans ma vie, j’ai découvert, une odeur qui est pour moi l'indicateur d’une chose de très mauvaise, que je ne dois pas avaler ni même respirer. C’est celle de la dent et de la carie traitée lors de soins par la fraise d'un dentiste. Mes dents sont faites d’un émail qui est d’origine organique, comme le reste de mon corps. Dés la première fois ou un dentiste a soigné ma première carie. Mon cerveau été marqué au fer rouge de l'odeur de se soin et ne l’oubliera jamais. Actuellement mon cerveau a associé cette odeur a quelque chose de presque similaire aux chairs brulées animales (qu’elles soient des rôtisseries, ou de restaurants) et me dit que pour mon bien être, il ne faut surtout pas que j’avale cette matière, car mauvaise pour ma santé. 

Si vous y prêter un peu d’attention vous remarquerez que des similitudes odorantes sont présentes dans ces odeurs, certes peu réjouissantes, mais pourtant bien réelles. La mauvaise odeur de la dent cariée soignée nous informe lors du soin avec un "ça pue vraiment, il était temps que je me soigne" et mon corps fait en sorte d'être le barrage qui n'avalera cette mauvaise matière incluant de la dent non cariée dans notre salive, lors du soin. Quand cela nous arrive nous sommes pressés de cracher tout ce que l’on a en bouche. Je pense que le fait d’avoir depuis 8 ans arrêter de manger de la viande m’a sevré de cet aliment organique issu de cadavres. Mais pas seulement puisque mon cerveau s’est également défait de l’association chairs et os brûlés qui pour ma personne qui étaient perçues comme "miam, ça sent le bon barbecue à manger" en une odeur répulsive. J’ai peut-être guérit un de mes nombreux troubles psychiques grâce a un sevrage. Celui d’un aliment que je ne considère plus comme en être un. Aujourd'hui je ne vois que des êtres vivant ou des individus qui tout comme ma personne sont présents et ne souhaitent que vivre dans la même temporalité de vie, que la mienne . Qu’ils aient deux ou quatre pattes, des cornes ou sans, des plumes ou des poils ou marchant sur des sabots ou avec mille pattes...tous ont le droit de vivre à leur façon.

Pour ce qui est des troubles psychiques de l’homme malade, nous ne les solutionnerons pas rapidement. Il nous faudra beaucoup de temps pour que tout soit compris, entendu, mais sur tout guérit. Mais, je pense que grâce aux témoignages racontés, telles que celui-ci et des transmissions d’informations en usant du net a bon escient, nous allons petits-à-petit devenir, moins pire, que ce que nous sommes actuellement, pour demain. Voir, beaucoup moins nuisible pour "cet autre"  qu’ils soient humains ou animale. Je garde ce bon espoir que l’on va bien finir par le comprendre et définir ce qu’est "le vivant" et la façon dont nous devrions vivre avec, afin qu'il puisse tout comme nous vivre et perdurer aussi longtemps que nous.

 

Fin - Kaze

 

Malade depuis plus de 10 000 ans - partie 3

Définition du trouble psychique. Cette définition donnée par Google est fausse puisque qu'elle est implantée dans Google par "de petites mains humaines" qui nous affirment que : les troubles psychiques sont les affections qui vont altérer l'état de santé mentale. Ils peuvent prendre des formes et des expressions très différentes. Ils apparaissent à une période particulière de la vie et peuvent s'installer dans la durée. (à retenir et a s'interroger sur qui au jour d'aujourd'hui peut se prétendre sans être affecter d'un seul de ses troubles ? ).

Tout comme l’être que je suis est également atteint d’un bon de trouble psy. Le mien me dit de partager avec vous cette vision de cette bordelo-pathologie, ou raison, ou façon de pensée juste et bonne que l'on qualifié de "trouble psychique" et qui n’est que la réalité de nos manières de vivre actuelles (constituées de multiples dénis, de mensonges répétés, de dissonances cognitives, de préjugés et de fausses vérités vraies, etc). Car, il faut dire que grâce a nos troubles psychiques, nous pouvons depuis des temps sans conscience, nous voiler la face en continuant à manger des viandes aux formes diverses et variées, tout en continuant à massacrer inutilement des millions voir des milliards d'animaux par ans. 

L'ensemble de ces monnaies sur pattes sont très souvent vantées par ceux qui les élèves (personnes toutes autant atteintes que moi de troubles psy) tels des êtres vivant aimés, choyés et chéris comme jamais. Des êtres qui sans ces éleveurs n’auraient jamais vu le jour seul. Élevés avec tellement d’amour que ces êtres différents de nous, ne sauraient vivre ou exister autrement (malaisant et pourtant si souvent entendu (martèlement mentale par la répétition fait croire que cette affirmation est vraie, alors que non également employé par les publicitaires). Maintenant planté vos dents dans un steak saignant, ça n’a pas le gout de l’amour d’un éleveur, mais bien celui du sang rouge coulant encore au travers de ces chairs et muscles dépecées (la réalité).

Or, l’amour que ces éleveurs prônent conduits ces individus différents de nous, très souvent jusqu’aux abattoirs. Hélas tous ces animaux divers et variés n’ont pas idée de ce qui les attend. Stressés au plus haut point, dans leur box et camions, ils sont  simplement abandonnés à une fatalité. Leur seule est unique compagne de voyage vers une mort assurée sera "la peur" dont nous avons pas conscience. 

Cet amour de l'argent que ces éleveurs leur portent, fait qu'ils seront tués inutilement, car je le sais et en suis très conscient qu'aujourd'hui et demain certains de ces animaux finiront jetés "sous des formes diverses et désirées" en millions de mégatonnes de déchets organiques dans les poubelles de : nos maisons, nos cantines, nos restaurants, nos autoroutes, nos natures, nos maisons de retraite, nos restaurants de malbouffes réputés grâce à des clowns et d'autres transformant poules et poulets en poisson pané que les gosses raffolent. Juste pour dire jusqu'où nos langues et estomacs, sans yeux, ni cogito savent nous mener depuis toujours.

Car, nous restons, ces éternels enfants aimant être pris par la main des publicités, afin de nous repaitre sans jamais prendre conscience de ce qui se cache derrière ces apparences trompeuses de faux moments joyeux alors qu'ils n’ont jamais été aussi cruels. Je sais que j'en oublie des tas de ces mégatonnes de structures carnivoresques idiotes et vides de sens du vivant, d'écologie et de bien-être pour ces êtres différents de nous n'aspirant qu'à vivre et voir demain. Des êtres vivant aux besoins fondamentaux similaires aux nôtres en aspirant à naître, grandir, procréer vieillir et mourir de façon naturelle. Soit a vivre une temporalité de vie terrestre qui est la leur, même si elle inclue une fin morbide, qui sera la même pour tous les êtres vivant respirant ce souffle de vie. 

Hélas pour ces vies sans passé à venir, nous autres et nos âmes vertueuses ne seront nullement et jamais atteintes voir indisposées par ce phénoménale contre sens à la vie et sa pérennité. La pérennité inexistante d'une vie normale et accomplie. 

Notre esprit, lui, ne souffrira jamais d'aucune manière et à aucun moment du jour ou de la nuit, du fait d'avoir conscience de ces milliards de massacres s'opérant chaque jour. Alors, que nos vies, elles, cheminent tranquillement vers le jour d'après. Nos vies ne se sentent pas le moins du monde responsables de toute ces tueries en cours. Alors, que pour ces animaux d’élevage ou d’ailleurs, il s'agit du jour ou leur vie est stoppée net par une mort mécanique inattendue et brutale. Qu’ils soient gisant au sol, ou à l’agonie baignant dans l’odeur du sang de celui qui les précède dans la mort, le fait est, que leurs morts inutiles pour certains futurs jetés en morceau a la poubelle, n’aura été que souffrances au plus haut point et ce de leur naissance jusqu'à cette journée terminus. Il faut avoir assisté a ce qu’est une mise a mort orchestrée par les hommes, pour comprendre ce qui se joue dans l’horrible.

Il faut dire que nous avons quand même une sacrée de chance de vivre dans ce pays civilisé. Où tout ce qui attrait à la mort de ces millions d'animaux tués tous les mois, nous est volontairement masqué grâce a des abattoirs aux pans de mur sans fenêtres. Pour sûr qu'ils n'afficheront jamais l'abominable en cours se pratiquant en leur cœur. Et les humains qui œuvrent dedans, nous le savons depuis leurs témoignages, n’y travaillent jamais très longtemps. 

Tout comme nous n'aimons pas parler de nos morts, de la mort en général en France, car cela reste un sujet tabou qui peut générer des troubles psychiques également chez les personnes fragilisées. Toutes ces personnes qui n'acceptent pas ou a qui l'ont a jamais appris à supporter la perte d'un proche ou de l'être aimé. Un deuil non accompli, qui ne s'opérera jamais en eux.

 

Suite dans le prochain post. 

 

Malade depuis plus de 10 000 ans - partie 2

Aujourd’hui, je pense que : ce que l’on imaginait hier comme "le progrès". Cette soit disant représentation élogieuse d’un bon cheminement de l’évolution humaine, n’est autre, qu’un chemin tordu emprunter par nos pieds lourds, guidés par nos têtes qui ne prennent plus la peine ou le temps de réfléchir à quoi que ce soi, mais n'ordonnant à nos pieds que d’avancer. Cette courbe, sur la quelle nous marchons tous, n’est que la résultante de décennies de troubles psychiques accumulés les uns derrière les autres. Aujourd’hui, ils sont en nous et font parti de nous, ils sont ce que nous sommes devenus, sans que l’on s’en rende compte, tellement ils sont encrés au plus profond de nos âmes. Jamais la force d’une bêtise, d’une ignorance n’a été aussi grande.

 

 

Nous nous vantons de ce que nous pensons connaître et maitriser, alors que nous ne savons pas grand chose, ou que très peu de chose, voir rien. Et toutes nos croyances et pensées justes et bonnes, n’ont jamais été aussi dangereuses que ces dernières années. Nous est nos troubles psychiques actuels vivons en total accord et harmonie. 

Ça va mon pote trouble-psy ? 

Oui ça va très bien. L’année dernière nous avons exterminé 850 000 000 d’êtres vivant différents de nous, juste pour notre plaisir gustatif. Les dernières espèces en voies d’extinction vont disparaitre pour toujours, mais plus aucunes ampoules ne s’allume là-haut. 

Sais-tu trouble psy en voie de développement durable que tu sabres la planète entière ? 

Ha, bon, mais je vas bien moa et s’est l’essentiel. Le reste du monde n’est que broutilles et poubelles à vider de temps en temps, ou pas...alors arrêtes de m’ennuyer s’il te plait. Laisses moi continuer à détruire et tuer librement, parce que je trouve ça bien, je n’y vois aucun mal derrière tout ce que je peux faire. Je ne veux que profiter de la vie, en semant mort et désolation derrière moa...

Le fait de concevoir que l’on ait ce type de symptômes, ou venir remettre en questions nos agissements tordus, font que les véritables lanceurs d’alerte et les observateurs passent pour ces personnes qui sont "totalement folles qu'il faudrait enfermer" dans nos sociétés gravement atteintes de ces maux psychiques dont la liste à surement dépassée l'entendement humain. Hannah Arendt parlait d’une "banalisation du mal". Moi, je pense que nous avons banaliser, non pas un mal généralisé tel un cancer, mais de très mauvaises façons d’interpréter nos comportements et agissement actuels. C'est simple nous ne nous comprenons plus nous même, alors nous nous taisons et continuons d'agir sans réfléchir aux actes accomplis. Nous avons malheureusement tous cet égo-anthropomorphisme si démesuré et si décalé envers le reste du vivant. Que nous venons, nous même, nous placer en tête de tout ce qu’il existe de mieux et de meilleur en ce bas monde tournant sur lui même. Nous tournons tous sur nous même, tels des derviches tourneurs depuis des siècles. Sans jamais nous questionner sur cette danse dévastatrice que nous exécutons en permanence. Cette danse perpétuelle et répétitive qui finira par nous emporter dans un de ces mouvements un jour.

 

Aux endroits où l'Homme est passé, il n'y a plus d'arbre


Alors pensez vous qu’il soit :

est-ce normal de circuler dans un véhicule de 1 à 2 tonnes, monté de toute pièce par des hommes poussés à l’aliénation au travail, par le travail, à qui l’on a fait croire que ce qu’il produit est d’une utilité vitale pour le reste de sa société. Où est le sens de la vie, dans cette démarche commerciale, alors que l’on sait très bien que l’utilisation de ces engins, nuit a tout l’ensemble du vivant sur terre, y compris, les conducteurs eux même et leur environnement social.

 
est-ce normal en 2022 que l’on tue inutilement des millions d’animaux qui finirons dans les poubelles de multiples services et commerces grâce à la cette croyance répandue dans le pays, affirmant que la viande est un aliment des plus important de notre régime alimentaire. Alors, que l’on sait, depuis toujours, que le fait de ne pas en manger 2 fois par jours durant 7 jours est bénéfique pour notre santé ?

 
est-ce normal de rester des heures entières derrière des écrans à attendre la fin du jour, alors qu’il y moins de 50 ans en arrière, il fallait aux hommes cultiver la terre tout au long d’une année, afin de pouvoir se nourrir de plantes aux différentes saisons, sans que ces choses soient classés, de nos jours en aliments  (légumes, fruits et céréales) qui nous arrivent de l’autre bout du monde ? 


 

  
est-ce normal que les gens s’informent des normes et des valeurs morale au travers d’images éparpillées sur des réseaux sociaux, par n’importe qui ? Alors que ces semeurs ne lisent plus et ne comprennent même pas le sens des mots qu’ils prononcent au quotidien. Ne faudrait-il pas, que toute personne ait atteint un véritable âge de raison, et non pas, un âge de majorité, pour utiliser des systèmes de communications basée sur des influences collectives ou individuelle, milieu où la reconnaissance d’autrui s'effectue par "un nombre de j’aime", où sur des critères de beauté, d’apparat réels, voir virtuelle ou invraisemblable ou encore pouvant causer la mort d’autrui puissent exister. Le tout pour que des données échangées rapportent des sommes astronomiques a un ou deux personnes dans le monde qui se fichent de savoir, qui vous êtes réellement et ce que vous faite dans votre vie.

 
est-ce normal que tous les jeunes parlent depuis plus de 25 ans avec des « tu vois… » et « des genres… » dans des phrases employées pour communiquer. Apparition d’un trouble psychique du langage ou auditif installé depuis longtemps et qui dure. Ces mots vides pallient le fait de rechercher les mots justes à employer dans une communication entre deux personnes. Est-ce du au souhait justement d’une communication expéditive ou d’une fainéantise des cerveaux qui ne sont plus capables de suivre la rapidité du progrès actuel de ses technologies ?

 

La suite au prochain post.